Ces angoisses ordinaires
Le recueil s’ouvre sur une nouvelle de six pages, rédigée dans un souffle, sans aucun point. Ce souffle, c’est celui d’un joggeur qui balance à ceux qu’ils croisent un Salut ! Comment va ...
le 16 janv. 2014
Le site est de retour en ligne. Cependant, nous effectuons encore des tests et il est possible que le site soit instable durant les prochaines heures. 🙏
Si les romans de Joyces Carol Oates nous réservent parfois de bonnes surprises, ses écrits sous forme de nouvelles, prennent une dimension encore plus forte. En effet, l’auteur distille au fil des pages des éléments de malaise qui instaurent dans ses écrits réalistes une once d’onirisme dérangeante et audacieuse.
Un recueil qui pose la normalité comme critère essentiel pour mieux s’en détacher et faire de chaque nouvelle une plongée cauchemardesque et visionnaire. Ici, c’est tout le talent de l’auteur qui s’exprime, se révèle à travers les ombres de personnages parfois terrifiants mais toujours terriblement humains. Un exercice de style, différent du roman, qui nous prouve qu’en quelques pages concentrées, l’auteur est capable du meilleur. A découvrir !
http://leblogdeyuko.wordpress.com/2015/11/03/le-musee-du-dr-moses-de-joyce-carol-oates/
Créée
le 3 nov. 2015
Critique lue 118 fois
D'autres avis sur Le Musée du Dr Moses
Le recueil s’ouvre sur une nouvelle de six pages, rédigée dans un souffle, sans aucun point. Ce souffle, c’est celui d’un joggeur qui balance à ceux qu’ils croisent un Salut ! Comment va ...
le 16 janv. 2014
Du même critique
5 bonnes raisons de découvrir ce film : 1-Un onirisme poétique : A travers une animation grandiose et des personnages oniriques, Hayao Miyazaki dresse le portrait d'une société japonaise en prise...
le 3 févr. 2014
10 j'aime
Le quatrième mur, c'est une séparation invisible... entre les acteurs et leur public, entre le spectateur et la guerre, entre l'auteur et son lecteur, la vie et la mort. Une surface lisse mais...
le 17 févr. 2014
9 j'aime
1-Un récit drôle et touchant : Basé sur un comique de situations, Le caméraman s'amuse du contraste entre les gags burlesques que subit son personnage et son air impassible. Un humour vif et fluide...
le 23 juin 2014
9 j'aime