Livre pour une enquête littéraire
L’intellectuel qui n’a pas écrit ; l’artiste sans œuvre ; comme un talent non utilisé, comme un mystère autour du choix de ne pas. Oui, un mystère, une interrogation pour un écrivain, l’envie de...
le 12 sept. 2015
Enrique Vila-Matas donne dans «Bartleby et compagnie» un aperçu de la vie de Roberto (Bobi) Bazlen et du roman de Daniele del Giudice, «Le stade de Wimbledon», publié en 1983 et traduit de l’italien par René de Ceccatty pour les éditions Rivages, dans lequel le narrateur tente, en revenant sur ses traces, de comprendre pourquoi le triestin Bazlen (1902-1965), homme érudit et vénéré dans le monde de l’édition italienne, n’écrivit jamais rien, à l’instar des «Artistes sans œuvres» auxquels Jean-Yves Jouannais a consacré un essai magnifique.
La suite sur mon blog ici :
https://charybde2.wordpress.com/2015/06/11/note-de-lecture-le-stade-de-wimbledon-daniele-del-giudice/
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 19 déc. 2012
Critique lue 299 fois
4 j'aime
D'autres avis sur Le Stade de Wimbledon
L’intellectuel qui n’a pas écrit ; l’artiste sans œuvre ; comme un talent non utilisé, comme un mystère autour du choix de ne pas. Oui, un mystère, une interrogation pour un écrivain, l’envie de...
le 12 sept. 2015
Du même critique
Publié initialement en 1979, cet essai passionnant de Christopher Lasch n’est pas du tout une analyse de plus de l’égocentrisme ou de l’égoïsme, mais une étude de la façon dont l’évolution de la...
Par
le 29 déc. 2013
36 j'aime
4
«Quand Gorbatchev est arrivé au pouvoir, nous étions tous fous de joie. On vivait dans des rêves, des illusions. On vidait nos cœurs dans nos cuisines. On voulait une nouvelle Russie… Au bout de...
Par
le 7 déc. 2013
35 j'aime
«Aujourd’hui il ne suffit plus de transformer le monde ; avant tout il faut le préserver. Ensuite, nous pourrons le transformer, beaucoup, et même d’une façon révolutionnaire. Mais avant tout, nous...
Par
le 24 mai 2013
32 j'aime
4