On tourne en rond dans ce cercle de Dante....

Long à commencer (à partir de la 200ème page), trop court dans sa fin, le premier livre de Matthew Pearl ne se sauve que son portrait érudit de l'Amérique post-sécessioniste du XIXème siècle et son paysage d'une Boston rongée par ses vices. L'intrigue, convaincante, se voit malheureusement tuée par un twist digne d'Esprits criminels. Comme quoi bien écrire une histoire et écrire une bonne histoire restent deux choses bien distinctes.
Engage-Guignol
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le 12 sept. 2010

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Engagé-Guignol

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