«Le son de ma voix» est l’histoire d’une distance : la distance entre ce que la vie de Morris Magellan devrait être, lui qui a tout pour être heureux - un emploi stable et bien payé chez un fabricant de biscuits, une femme aimante et compréhensive, deux enfants et une jolie maison -, et la réalité de sa vie intérieure d’alcoolique chronique, celle qu’exprime la voix de ce roman ; et aussi la distance entre sa perception du monde et l’image qu’il croit projeter et la façon dont les autres le perçoivent, - sa femme Mary, sa secrétaire, ses collègues.
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