Si j’ai commencé ce roman début septembre, c’est bien dans l’avion en rentrant de Rome que j’écris cette critique, c’est à dire après avoir découverts les lieux principaux de ce roman de Pierre Adrian. Les collines de Rome, les routes de l’EUR ou le quatuor de garçons, car ces mâles là sont encore loin d’être des adultes, commettent leur pire méfait. Si la narration est entrainante, et ne souffre pas de certains affres de la littérature contemporaine - faire du zèle dans la forme, ou à l’inverse phrases courtes -, j’estime que le déséquilibre soi