Déjà vu, déjà lu, déjà oublié.
Le concept du héros orphelin, condamné, mais pourtant destiné à sauver le monde, on connaît par coeur.
Même cette conception de la magie, où la musique remplace les sempiternels ouragans, torrents, grondements ou flammes qui menacent à chaque instant de consumer son utilisateur ne parvient pas à nous faire rêver. Et le retour du vieux mentor bourru... Franchement ?
Il y a même des elfes.
Le fameux épilogue tant encensé n'annonce rien de bon, la suite est cousue de fil blanc et je pense que je ne jetterais qu'un oeil au tome suivant pour voir si mes intuitions se confirment.