Desperados à la pisse

Là ou se mêle le sang, le sexe, et la sueur, il n'y a pas de place pour la clémence. L'alcool ravive les instincts primitifs et la violence se propage. La chaleur est abrutissante, et c'est le tableau de bêtes sauvages agissants dans la nuits qui nous est dressé. Ca crie, ça pue, ça grouille. On ne s'ennuie jamais et c'est assez troublant la manière dont les histoires arrivent à m'alpaguer. Très vivant, et visuel j'ai presque envie d'hurler "Gringo una cerbeza!" sauf que je n'ai que 3 ans d'espagnol derrière moi et que mon accent s'apparente plus à celui d'un allemand qui de tente de chanter "vous les femmes" plutôt qu'à Antonio Banderas qui crie vengeance.