Familière aux codes (RIP art 1382 du Code civil), le code de la norme me faisait l'effet d'une casse-dédi personnelle. Et c'est le seul charme du film, ce petit code tout rouge signature emblématique Dalloz.
Pour le reste c'est trop, alors on peut se dire: okay si c'est trop, c'est cool au moins tu ne t'ennuies pas! ET BAH SI. Parce que ça hurle, parce que c'est absurde, parce que c'est décousu j'abandonne très vite et ce film est réduit à un brouhaha de fond. Rien n'est drôle, tout est lourd je m'attendais presque à des pancartes avec écrit "éh oh regardez je fais de l'absurde c'est marrant nan, faut rire là". J'ai vraiment peiné à finir ce truc indigeste, rien à quoi se raccrocher j'ai pris mon mal en patience.
Les personnages sont TOUS chiants et puis d'ailleurs mon pti Vincent crois moi j'en ai ras le cul que tu n'interprètes que des puceaux-bewloss-handicapés-de-la-vie, c'est pas parce que t'as une calvitie à moins de 50 ans qu'il faut te cantonner à ces rôles y'en a marre maintenant!
Je remercie le sadique qui a eu l'idée de mettre des fausses "FIN" tout au long du film, merci ça m'a fait le même effet lorsque je finis de m'épiler un sourcil et que me rappelle soudainement que j'en ai deux. #Ascenseurémotionnel.
Déçue et choquée j'avais bien aimé la fille du 14 juillet.