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Les Paradis aveugles

Nhung thiên duong mu

1988 • livre de Thu Huong Duong

Résumé : Hàng gagne sa vie comme ouvrière dans une usine textile en URSS. Dans le train qui la conduit à Moscou, où elle se rend au chevet de son oncle malade, elle se remémore son enfance, son douloureux passé. L’oncle Ching, membre zélé du Parti communiste, a été l’un des ardents serviteurs de la réforme agraire au Vietnam. La mère de Hàng, par purge fraternelle et par respect des traditions, n’a jamais osé s’opposer à son frère. Même quand il a obligé son mari, instituteur, à fuir le village, sous le motif que sa famille appartenait à la classe des propriétaires fonciers, « ennemis mortels de la paysannerie ». Contrainte de s’installer à Hanoï et d’y élever seule sa fille, c’est elle qui a subvenu aux besoins de Chinh, incapable de nourrir ses enfants avec sa maigre solde de fonctionnaire. Dans ce livre de jeunesse, Duong Thu Huong pointe, à travers un drame familial, une tragédie collective, et interroge déjà le paradis marxiste… celui de tous les aveuglements.

paulscholes

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Les Paradis aveugles

Nhung thiên duong mu

1988 • livre de Thu Huong Duong

Résumé : Hàng gagne sa vie comme ouvrière dans une usine textile en URSS. Dans le train qui la conduit à Moscou, où elle se rend au chevet de son oncle malade, elle se remémore son enfance, son douloureux passé. L’oncle Ching, membre zélé du Parti communiste, a été l’un des ardents serviteurs de la réforme agraire au Vietnam. La mère de Hàng, par purge fraternelle et par respect des traditions, n’a jamais osé s’opposer à son frère. Même quand il a obligé son mari, instituteur, à fuir le village, sous le motif que sa famille appartenait à la classe des propriétaires fonciers, « ennemis mortels de la paysannerie ». Contrainte de s’installer à Hanoï et d’y élever seule sa fille, c’est elle qui a subvenu aux besoins de Chinh, incapable de nourrir ses enfants avec sa maigre solde de fonctionnaire. Dans ce livre de jeunesse, Duong Thu Huong pointe, à travers un drame familial, une tragédie collective, et interroge déjà le paradis marxiste… celui de tous les aveuglements.

Tharken

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Résumé : Hàng gagne sa vie comme ouvrière dans une usine textile en URSS. Dans le train qui la conduit à Moscou, où elle se rend au chevet de son oncle malade, elle se remémore son enfance, son douloureux passé. L’oncle Ching, membre zélé du Parti communiste, a été l’un des ardents serviteurs de la réforme agraire au Vietnam. La mère de Hàng, par purge fraternelle et par respect des traditions, n’a jamais osé s’opposer à son frère. Même quand il a obligé son mari, instituteur, à fuir le village, sous le motif que sa famille appartenait à la classe des propriétaires fonciers, « ennemis mortels de la paysannerie ». Contrainte de s’installer à Hanoï et d’y élever seule sa fille, c’est elle qui a subvenu aux besoins de Chinh, incapable de nourrir ses enfants avec sa maigre solde de fonctionnaire. Dans ce livre de jeunesse, Duong Thu Huong pointe, à travers un drame familial, une tragédie collective, et interroge déjà le paradis marxiste… celui de tous les aveuglements.

Фrncѡ

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Les Paradis aveugles

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Résumé : Hàng gagne sa vie comme ouvrière dans une usine textile en URSS. Dans le train qui la conduit à Moscou, où elle se rend au chevet de son oncle malade, elle se remémore son enfance, son douloureux passé. L’oncle Ching, membre zélé du Parti communiste, a été l’un des ardents serviteurs de la réforme agraire au Vietnam. La mère de Hàng, par purge fraternelle et par respect des traditions, n’a jamais osé s’opposer à son frère. Même quand il a obligé son mari, instituteur, à fuir le village, sous le motif que sa famille appartenait à la classe des propriétaires fonciers, « ennemis mortels de la paysannerie ». Contrainte de s’installer à Hanoï et d’y élever seule sa fille, c’est elle qui a subvenu aux besoins de Chinh, incapable de nourrir ses enfants avec sa maigre solde de fonctionnaire. Dans ce livre de jeunesse, Duong Thu Huong pointe, à travers un drame familial, une tragédie collective, et interroge déjà le paradis marxiste… celui de tous les aveuglements.

SICARD_NS

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Résumé : Hàng gagne sa vie comme ouvrière dans une usine textile en URSS. Dans le train qui la conduit à Moscou, où elle se rend au chevet de son oncle malade, elle se remémore son enfance, son douloureux passé. L’oncle Ching, membre zélé du Parti communiste, a été l’un des ardents serviteurs de la réforme agraire au Vietnam. La mère de Hàng, par purge fraternelle et par respect des traditions, n’a jamais osé s’opposer à son frère. Même quand il a obligé son mari, instituteur, à fuir le village, sous le motif que sa famille appartenait à la classe des propriétaires fonciers, « ennemis mortels de la paysannerie ». Contrainte de s’installer à Hanoï et d’y élever seule sa fille, c’est elle qui a subvenu aux besoins de Chinh, incapable de nourrir ses enfants avec sa maigre solde de fonctionnaire. Dans ce livre de jeunesse, Duong Thu Huong pointe, à travers un drame familial, une tragédie collective, et interroge déjà le paradis marxiste… celui de tous les aveuglements.