Merci à Babelio et aux éditions Prisma pour avoir pu découvrir ce livre estival.
Comme souvent lors de mes masses critiques, je ne lis que vaguement les 4ème de couv’, du coup, je n’avais pas compris que c’était un 2ème tome. Heureusement, rien n’empêche de comprendre l’histoire.
Anna vient d’avoir une petite fille, est installée avec son compagnon Matteo, et tous deux tiennent une boutique de crème glacée héritée de la grand-mère (cf tome précédent). Tout allait bien jusqu’à ce que Matteo se morfonde de sa terre natale italienne et propose qu’ils partent ouvrir une boutique là-bas au moins le temps d’un été.
D’un autre côté, Imogène est photographe et vit avec Finn prof de surf. Mais son projet de voyage est annulé, elle se trouve alors désœuvrée. N’ayant aucun envie de se fixer, elle part aussi un Italie voir sa sœur où elle retrouvera par hasard son ex.
D’autres personnages gravitent tout autour, Evie qui a dû vendre sa boutique, la maison d’hôte ouverte par les parents, la belle-mère d’Anna, pénible et possessive, la sœur de Matteo, etc…
Bon, je ne sais pas si les conditions n’étaient pas réunies pour que je le lise comme il faut, mais à aucun moment je n’ai accroché dans le roman. Je ne suis pourtant pas un public difficile, mais rien dans l’écriture, les personnages ou les situations a su attirer et garder mon attention. Je suis même assez sûre que c’est un livre que j’oublierais assez vite. Ceci dit il n’est pas non plus mauvais, mais c’est une lecture d’été facile, féminine, mais sans vraiment d’intérêt. Les thèmes abordés sont parfois intéressants, mais abordés avec banalité et cliché (l’ex-copain qui revient, la belle-mère, les problèmes de couple), j’ai parfois eu envie de secouer un peu les personnages ! La seule chose qui m’a fait rêver c’est les parfums des glaces, fruités et légers !
En somme ce livre n’a pas été une déception parce que je n’en attendais rien, mais je n’ai pas été séduite. Il y avait de bonnes idées, mais le rendu est un peu fade et c’est dommage.