New York délire est un traité d'urbanisme, et par conséquent je m'attendais en le lisant à comprendre la création et le développement de Manhattan.
En un sens, oui c'est ce qu'on a dans le livre, mais le contenu est au final relativement faible. Rem ettaye chaque argument sur des pages et des pages rentrant dans des détails, certes intéressantes, mais relativement inutiles dans la finalité du sujet. Passer 40 pages sur les parcs d'attraction de Coney Island, c'est trop, on a bien compris le rapprochement avec Manhattan, mais nous faire le descriptif de chacune des attractions des trois parcs ça va un peu loin, on a l'impression de lire de la littérature française du milieu du XIX ème siècle tellement c'est inutilement descriptif.
Au final, de grands mots, une réflexion intelligente et un bon propos, mais l'essentiel aurait tenu en 100 pages et non 300.
A lire par curiosité, mais loin d'être une référence à mon sens
Pélic