Pour vraiment apprécier ce bouquin, je tends à croire qu'il faudrait être une quinquagénaire en pleine crise existentielle ; quoiqu'il en soit - malgré de terribles longueurs et répétitions malheureusement nécessaires - ce livre vous dévore.
Vers la fin vous aurez l'impression de tellement bien connaître les personnages et vous y serez tellement attaché que la simple idée de refermer définitivement le livre vous tuera un peu.
Si vous passez outre les quelques petits " défauts " (parmi les moins importants : les références douteuses aux arts plastiques - je sais pas pour la VO, mais dans la VF elles sont plutôt mal utilisées et font un peu prétentieuses à défaut d'enrichir l'histoire.)
Bref, je vous passe les détails, mais rien que pour comprendre la petite métaphore du titre ça vaut le coup.
Je lirai sans doute Lucky pour terminer sa bibliographie, pour l'instant j'aime beaucoup Alice Sebold.
Je vous le conseille si vous êtes patient.