Décevant
Un roman de plus de 500 pages sur l'Amérique, sa population d'immigré, sa pauvreté, ses soldats traumatisés ... Un roman long, très long qui par moment m'a un peu perdu ..Autant les personnages sont...
Par
le 18 janv. 2017
2 j'aime
Quand un auteur se donne comme contrainte d’écrire dans une langue très simple, pour ne pas dire basique, qu’il fait s’exprimer son personnage dans un anglais (ou, dans sa traduction, un français) à la limite du p’tit nègre, la tâche peut sembler casse-gueule. J’ai peur que la pente n’ait été trop glissante pour Atticus Lish et qu’il ne se soit fixé un pari un peu risqué. Ah, il a du mérite, c’est sûr. Mais bon.
C’est donc une jeune chinoise clandestine à l’américain approximatif et au vocabulaire restreint qui arpente les rues de New York. Elle n’est pas seule. A ses côtés, un vétéran traumatisé de la guerre d’Irak. L’un et l’autre cherchent une place que les États-Unis n’ont pas vraiment prévu pour les gens comme eux, les inadaptés à une société en crise. Le pays n’est pas remis de ses attentats, les basses couches n’ont pas droit de cité. Leur déambulation dans ce décor est l’occasion d’en faire une description poussée et une analyse de l’intérieur.
La suite sur mon blog.
Créée
le 7 déc. 2016
Critique lue 185 fois
D'autres avis sur Parmi les loups et les bandits
Un roman de plus de 500 pages sur l'Amérique, sa population d'immigré, sa pauvreté, ses soldats traumatisés ... Un roman long, très long qui par moment m'a un peu perdu ..Autant les personnages sont...
Par
le 18 janv. 2017
2 j'aime
C’est l’histoire de deux paumés, chacun à leurs manières, mais tous deux étrangers au monde dans lequel ils évoluent. D’un côté, Zou Lei, immigrante clandestine chinoise, vient d’arriver aux...
le 17 juin 2020
Quand un auteur se donne comme contrainte d’écrire dans une langue très simple, pour ne pas dire basique, qu’il fait s’exprimer son personnage dans un anglais (ou, dans sa traduction, un français) à...
Par
le 7 déc. 2016
Du même critique
Tous ceux qui l'ont lu se souviennent du livre de Daniel Keyes Des fleurs pour Algernon. Pour les autres, voici un bref résumé de ce roman daté de 1966 : Charlie Gordon est un jeune homme simple...
Par
le 24 sept. 2021
8 j'aime
C'est incroyable ce que peuvent renfermer 600 pages. Ici, en l’occurrence, pour citer l'éditeur, "une ville entière et des milliers de souvenirs". La ville, c'est celle du titre, Zephyr. Les...
Par
le 4 avr. 2022
7 j'aime
1
Journaliste et écrivain, William Finnegan a également fait ses preuves comme surfeur. C'est d'ailleurs en tant que tel qu'il oriente ses mémoires. Le surf n'a jamais réellement fait partie de mes...
Par
le 14 avr. 2017
6 j'aime