Ce roman traduit cette errance mentale qui nous permet de voyager avec le narrateur. L'écriture n'est pas fluide, le raconteur couche ses pensées comme elles viennent. Il pense beaucoup à la jeune femme. Il essaye, mais l'inspiration n'est pas au rendez-vous, d'écrire un nouveau roman. Ces deux douleurs, aimer, écrire, s'entremêlent.
Déroutant pour moi. Je vous avoue que je me suis accrochée pour lire jusqu'à la fin. Cependant pas de regret, les derniers chapitres nous éclairent sur l'entourage de l'auteur. On a aussi l'explication du titre.
C'est mon ressenti, MAIS, je ne voudrais pas dénigrer ce roman. Il y a certainement de belles choses qui m'ont échappé. J'ai hâte de lire d'autres chroniques.
Chronique complète
À la différence d'une peinture, un roman ne peut se fonder sur la seule base d'informations sensorielles, si vifs soient ces stimuli