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Cela fait longtemps que je le mâchouille celui-ci, et je déclare forfait à la moitié. Ce n’est pas un mauvais livre, il n’est pas mal écrit, mais j’y retourne sans enthousiasme jour après jour, et pour un polar, il manque cruellement d’enjeux. En fait, dès le départ, le coupable est tout désigné, (il est révélé à la moitié), et il s’agit de sa traque. Oui, mais. Il y a trop de personnages, donc on ne peut s’attacher à aucun. Ni aux enquêteurs, ni à la famille endeuillée, on survole un peu, et même s’il a des trouvailles sympathiques, je ne suis pas tenue en haleine. Je voulais le lire comme un livre « pas prise de tête », de ceux qu’on lit sans réfléchir (c’est assez terrible de dire ça), mais il n’a pas le suspense nécessaire. Pour résumer, j’attends qu’il démarre depuis le début, (qu’il y ait un retournement de situation, une nouvelle piste, et comme j’abandonne c’est un risque que je cours), mais rien ne vient. Et à part les noms de famille, et la présence de la mafia, je ne me sens pas plus en Italie qu’en Corrèze ou en Espagne. Il manque de la description, du corps, de la chair (et je parle du pays). Donc, je ne dirais pas qu’il est raté, je pense qu’il peut plaire, mais je l’ai trouvé aussi mou que ma chronique d’aujourd’hui.
Créée
le 20 déc. 2021
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