Quand Anatole, Marceline, et leurs voisins se sont installés Rue des Colibiris, ils avaient vingt ans, et beaucoup de projets. Aujourd’hui ils en ont quatre-vingt-cinq et ne parlent plus à leurs voisins qu’en cas de nécessité absolue. Mais lorsque leur quartier est menacé par le projet de construction d’une école, ils décident de se serrer les coudes pour ne pas laisser détruire leurs souvenirs.
Un roman sympathique mais qui ne m'a pas autant accrochée que "Le parfum du bonheur..." On retrouve des personnages qui apparaissent dans les autres romans, c'est un petit côté sympa.