L'actualité sur Richesse du monde, pauvretés des nations
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livre de Daniel Cohen (I)
Résumé : Ne tirez pas sur la mondialisation Peut-on croire que la concurrence des pays pauvres soit la cause de nos misères, alors que leur commerce avec les pays développés représente moins de 3 % de la richesse créée chaque année par ces derniers? Pourquoi la France a-t-elle 13 % de chômeurs alors qu'elle crée chaque année 4 millions d'emplois, soit proportionnellement presque autant que les Etats-Unis? Les réponses de Daniel Cohen, professeur d'économie à Normale sup, battent en brèche les idées reçues. Au début du XIXe siècle, un habitant d'Europe occidentale était en moyenne 1,3 fois plus riche qu'un habitant de l'Inde ou de l'Afrique. En 1995, le rapport des revenus par tête entre pays développés et Tiers Monde est de l'ordre de 1 à 50. Le privilège que l'Occident a tiré de la révolution industrielle pourrait n'être qu'une exception, qui disparaîtra avec le puissant rattrapage en cours des pays émergents. Mais ce rattrapage se fera au détriment des pays riches. Les inégalités qui s'y développent ne sont pas la conséquence de la mondialisation, mais bien de la "troisième révolution industrielle", qui survalorise le critère de compétence. En 1970, le chômage en France était de 2,5 % chez les diplômés et de 3,5 % chez les travailleurs non qualifiés. En 1990, il est passé à 4,5 % chez les premiers, mais à 20 % chez les seconds. Et la nature même des nouvelles technologies fait exploser l'organisation "fordiste" du travail et le type de cohésion sociale qu'elle engendrait. Les anciens groupes sociaux, fondés sur l'homogénéité des compétences, des revenus et des carrières, éclatent: c'est au sein des métiers, entre travailleurs de même niveau de formation, que se développent les inégalités. Faire de la mondialisation la responsable de nos problèmes d'emploi est absurde et dangereux. Car, écrit Daniel Cohen, "c'est en se convainquant que la menace qui pèse sur leurs sociétés v
a attribué 7/10 au livre
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livre de Daniel Cohen (I)
Résumé : Ne tirez pas sur la mondialisation Peut-on croire que la concurrence des pays pauvres soit la cause de nos misères, alors que leur commerce avec les pays développés représente moins de 3 % de la richesse créée chaque année par ces derniers? Pourquoi la France a-t-elle 13 % de chômeurs alors qu'elle crée chaque année 4 millions d'emplois, soit proportionnellement presque autant que les Etats-Unis? Les réponses de Daniel Cohen, professeur d'économie à Normale sup, battent en brèche les idées reçues. Au début du XIXe siècle, un habitant d'Europe occidentale était en moyenne 1,3 fois plus riche qu'un habitant de l'Inde ou de l'Afrique. En 1995, le rapport des revenus par tête entre pays développés et Tiers Monde est de l'ordre de 1 à 50. Le privilège que l'Occident a tiré de la révolution industrielle pourrait n'être qu'une exception, qui disparaîtra avec le puissant rattrapage en cours des pays émergents. Mais ce rattrapage se fera au détriment des pays riches. Les inégalités qui s'y développent ne sont pas la conséquence de la mondialisation, mais bien de la "troisième révolution industrielle", qui survalorise le critère de compétence. En 1970, le chômage en France était de 2,5 % chez les diplômés et de 3,5 % chez les travailleurs non qualifiés. En 1990, il est passé à 4,5 % chez les premiers, mais à 20 % chez les seconds. Et la nature même des nouvelles technologies fait exploser l'organisation "fordiste" du travail et le type de cohésion sociale qu'elle engendrait. Les anciens groupes sociaux, fondés sur l'homogénéité des compétences, des revenus et des carrières, éclatent: c'est au sein des métiers, entre travailleurs de même niveau de formation, que se développent les inégalités. Faire de la mondialisation la responsable de nos problèmes d'emploi est absurde et dangereux. Car, écrit Daniel Cohen, "c'est en se convainquant que la menace qui pèse sur leurs sociétés v
a envie de lire le livre
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Ma petite Pile à Lire... Enfin... "petite", c'est un grand mot...
et
livre de Daniel Cohen (I)
Résumé : Ne tirez pas sur la mondialisation Peut-on croire que la concurrence des pays pauvres soit la cause de nos misères, alors que leur commerce avec les pays développés représente moins de 3 % de la richesse créée chaque année par ces derniers? Pourquoi la France a-t-elle 13 % de chômeurs alors qu'elle crée chaque année 4 millions d'emplois, soit proportionnellement presque autant que les Etats-Unis? Les réponses de Daniel Cohen, professeur d'économie à Normale sup, battent en brèche les idées reçues. Au début du XIXe siècle, un habitant d'Europe occidentale était en moyenne 1,3 fois plus riche qu'un habitant de l'Inde ou de l'Afrique. En 1995, le rapport des revenus par tête entre pays développés et Tiers Monde est de l'ordre de 1 à 50. Le privilège que l'Occident a tiré de la révolution industrielle pourrait n'être qu'une exception, qui disparaîtra avec le puissant rattrapage en cours des pays émergents. Mais ce rattrapage se fera au détriment des pays riches. Les inégalités qui s'y développent ne sont pas la conséquence de la mondialisation, mais bien de la "troisième révolution industrielle", qui survalorise le critère de compétence. En 1970, le chômage en France était de 2,5 % chez les diplômés et de 3,5 % chez les travailleurs non qualifiés. En 1990, il est passé à 4,5 % chez les premiers, mais à 20 % chez les seconds. Et la nature même des nouvelles technologies fait exploser l'organisation "fordiste" du travail et le type de cohésion sociale qu'elle engendrait. Les anciens groupes sociaux, fondés sur l'homogénéité des compétences, des revenus et des carrières, éclatent: c'est au sein des métiers, entre travailleurs de même niveau de formation, que se développent les inégalités. Faire de la mondialisation la responsable de nos problèmes d'emploi est absurde et dangereux. Car, écrit Daniel Cohen, "c'est en se convainquant que la menace qui pèse sur leurs sociétés v
livre de Daniel Cohen (I)
Résumé : Ne tirez pas sur la mondialisation Peut-on croire que la concurrence des pays pauvres soit la cause de nos misères, alors que leur commerce avec les pays développés représente moins de 3 % de la richesse créée chaque année par ces derniers? Pourquoi la France a-t-elle 13 % de chômeurs alors qu'elle crée chaque année 4 millions d'emplois, soit proportionnellement presque autant que les Etats-Unis? Les réponses de Daniel Cohen, professeur d'économie à Normale sup, battent en brèche les idées reçues. Au début du XIXe siècle, un habitant d'Europe occidentale était en moyenne 1,3 fois plus riche qu'un habitant de l'Inde ou de l'Afrique. En 1995, le rapport des revenus par tête entre pays développés et Tiers Monde est de l'ordre de 1 à 50. Le privilège que l'Occident a tiré de la révolution industrielle pourrait n'être qu'une exception, qui disparaîtra avec le puissant rattrapage en cours des pays émergents. Mais ce rattrapage se fera au détriment des pays riches. Les inégalités qui s'y développent ne sont pas la conséquence de la mondialisation, mais bien de la "troisième révolution industrielle", qui survalorise le critère de compétence. En 1970, le chômage en France était de 2,5 % chez les diplômés et de 3,5 % chez les travailleurs non qualifiés. En 1990, il est passé à 4,5 % chez les premiers, mais à 20 % chez les seconds. Et la nature même des nouvelles technologies fait exploser l'organisation "fordiste" du travail et le type de cohésion sociale qu'elle engendrait. Les anciens groupes sociaux, fondés sur l'homogénéité des compétences, des revenus et des carrières, éclatent: c'est au sein des métiers, entre travailleurs de même niveau de formation, que se développent les inégalités. Faire de la mondialisation la responsable de nos problèmes d'emploi est absurde et dangereux. Car, écrit Daniel Cohen, "c'est en se convainquant que la menace qui pèse sur leurs sociétés v
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Résumé : Ne tirez pas sur la mondialisation Peut-on croire que la concurrence des pays pauvres soit la cause de nos misères, alors que leur commerce avec les pays développés représente moins de 3 % de la richesse créée chaque année par ces derniers? Pourquoi la France a-t-elle 13 % de chômeurs alors qu'elle crée chaque année 4 millions d'emplois, soit proportionnellement presque autant que les Etats-Unis? Les réponses de Daniel Cohen, professeur d'économie à Normale sup, battent en brèche les idées reçues. Au début du XIXe siècle, un habitant d'Europe occidentale était en moyenne 1,3 fois plus riche qu'un habitant de l'Inde ou de l'Afrique. En 1995, le rapport des revenus par tête entre pays développés et Tiers Monde est de l'ordre de 1 à 50. Le privilège que l'Occident a tiré de la révolution industrielle pourrait n'être qu'une exception, qui disparaîtra avec le puissant rattrapage en cours des pays émergents. Mais ce rattrapage se fera au détriment des pays riches. Les inégalités qui s'y développent ne sont pas la conséquence de la mondialisation, mais bien de la "troisième révolution industrielle", qui survalorise le critère de compétence. En 1970, le chômage en France était de 2,5 % chez les diplômés et de 3,5 % chez les travailleurs non qualifiés. En 1990, il est passé à 4,5 % chez les premiers, mais à 20 % chez les seconds. Et la nature même des nouvelles technologies fait exploser l'organisation "fordiste" du travail et le type de cohésion sociale qu'elle engendrait. Les anciens groupes sociaux, fondés sur l'homogénéité des compétences, des revenus et des carrières, éclatent: c'est au sein des métiers, entre travailleurs de même niveau de formation, que se développent les inégalités. Faire de la mondialisation la responsable de nos problèmes d'emploi est absurde et dangereux. Car, écrit Daniel Cohen, "c'est en se convainquant que la menace qui pèse sur leurs sociétés v
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Résumé : Ne tirez pas sur la mondialisation Peut-on croire que la concurrence des pays pauvres soit la cause de nos misères, alors que leur commerce avec les pays développés représente moins de 3 % de la richesse créée chaque année par ces derniers? Pourquoi la France a-t-elle 13 % de chômeurs alors qu'elle crée chaque année 4 millions d'emplois, soit proportionnellement presque autant que les Etats-Unis? Les réponses de Daniel Cohen, professeur d'économie à Normale sup, battent en brèche les idées reçues. Au début du XIXe siècle, un habitant d'Europe occidentale était en moyenne 1,3 fois plus riche qu'un habitant de l'Inde ou de l'Afrique. En 1995, le rapport des revenus par tête entre pays développés et Tiers Monde est de l'ordre de 1 à 50. Le privilège que l'Occident a tiré de la révolution industrielle pourrait n'être qu'une exception, qui disparaîtra avec le puissant rattrapage en cours des pays émergents. Mais ce rattrapage se fera au détriment des pays riches. Les inégalités qui s'y développent ne sont pas la conséquence de la mondialisation, mais bien de la "troisième révolution industrielle", qui survalorise le critère de compétence. En 1970, le chômage en France était de 2,5 % chez les diplômés et de 3,5 % chez les travailleurs non qualifiés. En 1990, il est passé à 4,5 % chez les premiers, mais à 20 % chez les seconds. Et la nature même des nouvelles technologies fait exploser l'organisation "fordiste" du travail et le type de cohésion sociale qu'elle engendrait. Les anciens groupes sociaux, fondés sur l'homogénéité des compétences, des revenus et des carrières, éclatent: c'est au sein des métiers, entre travailleurs de même niveau de formation, que se développent les inégalités. Faire de la mondialisation la responsable de nos problèmes d'emploi est absurde et dangereux. Car, écrit Daniel Cohen, "c'est en se convainquant que la menace qui pèse sur leurs sociétés v
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Résumé : Ne tirez pas sur la mondialisation Peut-on croire que la concurrence des pays pauvres soit la cause de nos misères, alors que leur commerce avec les pays développés représente moins de 3 % de la richesse créée chaque année par ces derniers? Pourquoi la France a-t-elle 13 % de chômeurs alors qu'elle crée chaque année 4 millions d'emplois, soit proportionnellement presque autant que les Etats-Unis? Les réponses de Daniel Cohen, professeur d'économie à Normale sup, battent en brèche les idées reçues. Au début du XIXe siècle, un habitant d'Europe occidentale était en moyenne 1,3 fois plus riche qu'un habitant de l'Inde ou de l'Afrique. En 1995, le rapport des revenus par tête entre pays développés et Tiers Monde est de l'ordre de 1 à 50. Le privilège que l'Occident a tiré de la révolution industrielle pourrait n'être qu'une exception, qui disparaîtra avec le puissant rattrapage en cours des pays émergents. Mais ce rattrapage se fera au détriment des pays riches. Les inégalités qui s'y développent ne sont pas la conséquence de la mondialisation, mais bien de la "troisième révolution industrielle", qui survalorise le critère de compétence. En 1970, le chômage en France était de 2,5 % chez les diplômés et de 3,5 % chez les travailleurs non qualifiés. En 1990, il est passé à 4,5 % chez les premiers, mais à 20 % chez les seconds. Et la nature même des nouvelles technologies fait exploser l'organisation "fordiste" du travail et le type de cohésion sociale qu'elle engendrait. Les anciens groupes sociaux, fondés sur l'homogénéité des compétences, des revenus et des carrières, éclatent: c'est au sein des métiers, entre travailleurs de même niveau de formation, que se développent les inégalités. Faire de la mondialisation la responsable de nos problèmes d'emploi est absurde et dangereux. Car, écrit Daniel Cohen, "c'est en se convainquant que la menace qui pèse sur leurs sociétés v
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Résumé : Ne tirez pas sur la mondialisation Peut-on croire que la concurrence des pays pauvres soit la cause de nos misères, alors que leur commerce avec les pays développés représente moins de 3 % de la richesse créée chaque année par ces derniers? Pourquoi la France a-t-elle 13 % de chômeurs alors qu'elle crée chaque année 4 millions d'emplois, soit proportionnellement presque autant que les Etats-Unis? Les réponses de Daniel Cohen, professeur d'économie à Normale sup, battent en brèche les idées reçues. Au début du XIXe siècle, un habitant d'Europe occidentale était en moyenne 1,3 fois plus riche qu'un habitant de l'Inde ou de l'Afrique. En 1995, le rapport des revenus par tête entre pays développés et Tiers Monde est de l'ordre de 1 à 50. Le privilège que l'Occident a tiré de la révolution industrielle pourrait n'être qu'une exception, qui disparaîtra avec le puissant rattrapage en cours des pays émergents. Mais ce rattrapage se fera au détriment des pays riches. Les inégalités qui s'y développent ne sont pas la conséquence de la mondialisation, mais bien de la "troisième révolution industrielle", qui survalorise le critère de compétence. En 1970, le chômage en France était de 2,5 % chez les diplômés et de 3,5 % chez les travailleurs non qualifiés. En 1990, il est passé à 4,5 % chez les premiers, mais à 20 % chez les seconds. Et la nature même des nouvelles technologies fait exploser l'organisation "fordiste" du travail et le type de cohésion sociale qu'elle engendrait. Les anciens groupes sociaux, fondés sur l'homogénéité des compétences, des revenus et des carrières, éclatent: c'est au sein des métiers, entre travailleurs de même niveau de formation, que se développent les inégalités. Faire de la mondialisation la responsable de nos problèmes d'emploi est absurde et dangereux. Car, écrit Daniel Cohen, "c'est en se convainquant que la menace qui pèse sur leurs sociétés v