Je n’imaginais pas être emportée dans un tel tourbillon en arrivant sur la fin du livre ! Je me suis retrouvée remplie d’émotions, c’était poignant et pourtant je ne suis pas émotive !
5*, en peut conclure que j’ai aimé, beaucoup même ! Les mots me portaient par le biais de Mona, la mère décédée, tour à tour épouse, femme, belle-mère ou grand-mère. Cela peut paraître étrange vu de l’extérieur mais en lisant ça ne l’était pas du tout !
Mona est le fil conducteur de l’histoire et Albane le pivot. 15 ans qu’elle a fui sa famille et pour la première fois vient faire un concert en Europe.
Tour à tour s’expriment : Jean, le père ; Clélia, la sœur ainée ; Yvan, le beau-frère, ex petit ami ; Katia, la nièce adolescente qui idéalise Albane la lointaine et Albane ! Mélodie de la famille et ode à la féminité accompagnées par Nabokov et Homère ; veillées par un tableau de Smargiassi et bercées par Beethoven !
Un beau moment de littérature, plein de finesse et d’humanité ! Et comme à chaque fois que j’aime beaucoup je ne sais pas quoi dire, tellement j’ai la sensation que c’est personnel et intime.
N’hésitez pas à le lire, pour un premier roman c’est un coup de maître !
Silesdieuxincendiaientlemonde #NetGalleyFrance