Une magnifique couverture, un auteur Slovène, il fallait que je lise ce roman !
Ciril un jeune slovène de 27 ans joue du violon dans le métro de Vienne. Il croise Stefan Dobernik, slovène comme lui et les deux expatriés décident de passer la soirée ensemble. Finalement Stefan ramène Ciril au pays, bien décidé à le sortir de sa misère et à en faire un vrai homme. En Slovénie, Ciril retrouve son amour d’étudiant, découvre la fille de son patron, est ballotté d’événements en événements et oublie peu à peu le violon.
J’ai eu beaucoup de mal à accrocher à ce roman, qui ne m’a finalement pas vraiment plût. Le personnage de Ciril est peu acteur, les autres ont tendance à décider pour lui et il ne fait pas grand chose. De plus, il y a des thèmes récurrents (parfois presque anodins) mais qui se répètent dans le roman, parfois avec justesse, parfois trop, donnant parfois l’impression au lecteur d’être revenu une page en arrière. Cet effet de redondance m’a plutôt perdu que fait sourire.
De plus, l’histoire en elle-même ne m’a pas séduite et je ne me suis attachée à aucun des personnages, donc plutôt une déception, pas forcément le meilleur livre pour commencer à découvrir un nouveau pays !