Élégamment déroutant, le premier roman d’Emmanuel Villin, à paraître le 1er septembre aux éditions Asphalte, illustre que raconter est un art de la dissimulation et il réussit avec un talent prometteur à placer le lecteur ou la lectrice dans une situation d’attente et de désir.
Le narrateur de «Sporting Club», ayant formé le projet de conduire une série d’entretiens avec un certain Camille en vue de publier un livre, et ayant finalement obtenu un accord de principe de sa part, attend dans une ville méditerranéenne que celui-ci l’appelle, pour accéder enfin à sa demande d’interviews au long cours.
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