L'actualité sur Swastika Night

1937 • livre de Katharine Burdekin

Résumé : "Après une guerre dite « de Vingt Ans », le nazisme a vaincu et édifié une société répressive qui voue un culte au “dieu Hitler”. Une caste de chevaliers, descendants des compagnons originels du Führer, en sont les gardiens impitoyables. Les nations esclaves ne peuvent qu’obéir aux Allemands considérés comme étant d’essence supérieure. Les femmes sont réduites à un rôle de reproductrices, les chrétiens constituent une catégorie méprisée. Pour maintenir les vaincus dans leur état de sujétion et galvaniser les jeunes Allemands appelés à occuper différents pays, il a fallu réécrire l’histoire, expliquer combien le nazisme incarnait un degré supérieur de civilisation, et pour cela détruire livres et documents d’archives. Faire table rase du passé. Un passé très lointain puisque Katharine Burdekin fait débuter son récit 700 ans après la victoire d’Hitler. Ce dernier n’est plus le petit bonhomme grassouillet affublé d’une moustache ridicule et d’une mèche plaquée sur le front mais un guerrier aryen, géant blond au regard bleu acier. Un Anglais, officiellement en pèlerinage en Bavière, berceau du national-socialisme, est persuadé que la domination nazie peut être renversée, qu’un autre modèle de société, plus fraternel, est possible. La rencontre fortuite d’un vieux chevalier en rupture avec le régime et détenteur d’un ouvrage rédigé par un lointain ancêtre renforce sa conviction : il y eut par le passé d’autres formes de gouvernement basées sur le respect de l’Homme."

1937 • livre de Katharine Burdekin

Résumé : "Après une guerre dite « de Vingt Ans », le nazisme a vaincu et édifié une société répressive qui voue un culte au “dieu Hitler”. Une caste de chevaliers, descendants des compagnons originels du Führer, en sont les gardiens impitoyables. Les nations esclaves ne peuvent qu’obéir aux Allemands considérés comme étant d’essence supérieure. Les femmes sont réduites à un rôle de reproductrices, les chrétiens constituent une catégorie méprisée. Pour maintenir les vaincus dans leur état de sujétion et galvaniser les jeunes Allemands appelés à occuper différents pays, il a fallu réécrire l’histoire, expliquer combien le nazisme incarnait un degré supérieur de civilisation, et pour cela détruire livres et documents d’archives. Faire table rase du passé. Un passé très lointain puisque Katharine Burdekin fait débuter son récit 700 ans après la victoire d’Hitler. Ce dernier n’est plus le petit bonhomme grassouillet affublé d’une moustache ridicule et d’une mèche plaquée sur le front mais un guerrier aryen, géant blond au regard bleu acier. Un Anglais, officiellement en pèlerinage en Bavière, berceau du national-socialisme, est persuadé que la domination nazie peut être renversée, qu’un autre modèle de société, plus fraternel, est possible. La rencontre fortuite d’un vieux chevalier en rupture avec le régime et détenteur d’un ouvrage rédigé par un lointain ancêtre renforce sa conviction : il y eut par le passé d’autres formes de gouvernement basées sur le respect de l’Homme."

1937 • livre de Katharine Burdekin

Résumé : "Après une guerre dite « de Vingt Ans », le nazisme a vaincu et édifié une société répressive qui voue un culte au “dieu Hitler”. Une caste de chevaliers, descendants des compagnons originels du Führer, en sont les gardiens impitoyables. Les nations esclaves ne peuvent qu’obéir aux Allemands considérés comme étant d’essence supérieure. Les femmes sont réduites à un rôle de reproductrices, les chrétiens constituent une catégorie méprisée. Pour maintenir les vaincus dans leur état de sujétion et galvaniser les jeunes Allemands appelés à occuper différents pays, il a fallu réécrire l’histoire, expliquer combien le nazisme incarnait un degré supérieur de civilisation, et pour cela détruire livres et documents d’archives. Faire table rase du passé. Un passé très lointain puisque Katharine Burdekin fait débuter son récit 700 ans après la victoire d’Hitler. Ce dernier n’est plus le petit bonhomme grassouillet affublé d’une moustache ridicule et d’une mèche plaquée sur le front mais un guerrier aryen, géant blond au regard bleu acier. Un Anglais, officiellement en pèlerinage en Bavière, berceau du national-socialisme, est persuadé que la domination nazie peut être renversée, qu’un autre modèle de société, plus fraternel, est possible. La rencontre fortuite d’un vieux chevalier en rupture avec le régime et détenteur d’un ouvrage rédigé par un lointain ancêtre renforce sa conviction : il y eut par le passé d’autres formes de gouvernement basées sur le respect de l’Homme."