Cette Grâce est incarnée par Audrey Hepburn une actrice britannique, née Edda Kathleen Ruston le 4 mai 1929 dans la commune d'Ixelles de la région de Bruxelles-Capitale en Belgique et morte le 20 janvier 1993 à Tolochenaz en Suisse
Étoile de Hollywood dans les années 1950 et 1960, elle est nommée quatre autres fois pour des Oscars, en particulier pour l'interprétation de Holly Golightly dans Diamants sur canapé (1961). Ses autres grands succès incluent Sabrina, My Fair Lady ainsi qu'un film culte, Guerre et Paix, tiré du roman éponyme de Léon Tolstoï. En 1967, à 38 ans, elle met fin provisoirement à sa carrière d’actrice, jusqu'en 1976 où elle reprend les chemins des plateaux avec le réalisateur Richard Lester.
J'ai toujours aimé lire des biographies, J'ai toujours été attiré par les destins tragiques ou pas d'ailleurs des grands noms de la Chanson française (« Dalida : Mon frère tu écrieras mes mémoires » ) des grandes actrices américaines ( Rita Hayworth : « Le secret de Rita H » de Stéphanie des Horts ) et des acteurs qui sont devenus des légendes en peu de temps (James Dean), »Vivre vite » de Philippe Besson
Je garde un très bon souvenir de lecture de ces trois ouvrages. C'est pourquoi, j'ai eu envie de découvrir la vie d'un autre personnage mythique, bien que ce livre ne soit pas une biographie. Clémence Boulouque nous dresse un portrait de cette grande et inoubliable actrice lors d'une période de sa vie peu connue du grand public. 1964,à Dublin. Mel Ferrer, le mari d’Audrey Hepburn, organise une rencontre entre la jeune femme et celui qu’elle n’a pas vu depuis près de trente ans, Joseph, son père, qui avait abandonné sa famille pour mieux embrasser ses idéologies fascistes et dont la trace s’est perdue dans le fracas de la seconde guerre mondiale.
L'auteur dresse un portrait intimiste, émouvant, attachant et même convaincant de l'actrice, En revanche, j'ai complètement bloqué sur le style qui m'a semblé s'enliser .