Retour à Kingsbridge. La cathédrale est toujours là, quoi que plus en toile de fonds que lors des deux premiers opus. On retrouve l'histoire d'amour impossible, la haine, la vengeance, tout ce qui cimente le récit des Piliers de la Terre et du Monde Sans fin. L'écriture semble toutefois plus incertaine. Des sauts de puces géographiques et historiques dilues le récit qui était plus dense dans les deux premiers livres. Trop de personnages peut-être aussi (l'auteur s'en excuse dès le prologue). Bref, un plaisir de retrouver cette petite ville anglaise et son histoire personnelle, mais un peu de lassitude. Ou alors j'ai vieillis ?