Une fille, qui danse par Nina in the rain
Ennui. C’est le seul mot qui me revient au souvenir de cette lecture pour laquelle j’ai attendu bien trop longtemps d’écrire le billet. A peine une semaine plus tard, j’ai déjà oublié. Oublié de quoi ça parlait, comment ça le racontait, oublié la fin même, cette fameuse info bouleversante qui m’a si peu touchée que je suis incapable de m’en souvenir. Je commence même à me demander si je l’ai réellement terminé, mais il me semble que je me souviendrais de l’avoir abandonné, je ne crois pas avoir commencé un autre livre en plein milieu.
Je pense que ce manque de souvenirs en lui-même parle aussi bien du roman, ou tout du moins de ce que j’en ai ressenti, qu’une longue critique circonstanciée. Une semaine plus tard, je n’en ai plus trace, il a coulé sur moi comme de l’eau. Tant pis.