Cauchemar éveillé.
En sortant un dimanche matin pour faire son jogging, Mario Rota, professeur de linguistique d’origine italienne à l’université d’Urbana, se tord la cheville. Lorsqu’il rejoint son appartement en...
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le 2 nov. 2016
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En sortant un dimanche matin pour faire son jogging, Mario Rota, professeur de linguistique d’origine italienne à l’université d’Urbana, se tord la cheville. Lorsqu’il rejoint son appartement en boitant, il fait la connaissance de son nouveau voisin, M. Berkowickz, et apprend que cet homme va dorénavant être son collègue puisqu’ils vont travailler dans le même département à l’université.
À partir de cet incident mineur provoqué par un simple faux pas, et de l’arrivée de cet encombrant voisin, son existence se dérègle et part à vau-l’eau. Face à un Berkowickz érudit et sûr de lui, qui semble être son double inversé, Mario Rota commence à être assailli par les doutes, la culpabilité et par le sentiment de son imposture. Et pourtant Mario, qui entretient apparemment un rapport compliqué avec la réalité, encaisse sans broncher les coups durs successifs, professionnels et personnels, semblant se déplacer dans une atmosphère brumeuse, dont l’ambigüité entre rêve ou cauchemar évoque celle des nouvelles de Roberto Bolaño.
La suite sur mon blog ici :
https://charybde2.wordpress.com/2016/10/30/note-de-lecture-a-petites-foulees-javier-cercas/
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le 2 nov. 2016
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