Totalement hilarant en son genre - je crois que les pages où Des Esseintes se prend d'amour pour des plantes imitant des matières manufacturées sont de celles qui m'ont le plus réjoui.
Ces affectations de névrosé (avant l'heure, ou le mot) parti vivre en Banlieue pour échapper à Paris, et qui s'enveloppe dans des labyrinthes et des collections improbables frise le surréalisme - étonnante scène de rêve - ce qui, pour un symboliste, ne surprend guère, mais est plus étonnant pour un naturaliste, qui ne devait pas le rester !