"The little girl's broken home life holds the key to Leila's grown-up sexuality."
C'est le résumé du livre et de celui de quasiment toute l'oeuvre de l'auteur, qui ressemble d'ailleurs beaucoup physiquement à son personnage.
C'est son premier bouquin et je pense que si j'avais commencé par celui là au lieu de l'Oiseau blanc dans le Blizzard, je n'aurai pas pu continuer à la lire : je l'ai trouvé vide de sens, confus, pénible, et avec beaucoup trop de violence gratuite faite aux femmes.
Même si c'est fictionnel (surtout si c'est fictionnel, car la fiction s'inspire souvent du réel), je crois que je ne peux pas accepter que le viol soit perçu et décrit de façon aussi indifférente et sans conséquences.
C'est vraiment dommage, parce qu'entre les lignes de l'horreur, le talent est persistant, et la poésie omniprésente.