Ada, le livre, arrive à jouer avec le lecteur avec une apparente simplissité tellement forte, qu'elle se retourne contre lui. Impossible d'accorder le Pulitzer à un livre qui rabaisse le Pulitzer !
Moi, le lecteur, n'ose plus dire que ce livre est un chef d'œuvre, la critique est ma dernière arme pour prouver que je ne me suis pas fait avoir par Ada, par Franck ou Antoine.
Je pourrais critiquer pour le prouver.
Mais je vais faire un autre choix. Ada, l'IA, joue et gagne la partie. J'ai perdu, mais quelle partie, quelle partie.... Bravo à Franck, Ada et Antoine.