C'est ma seconde tentative de lecture d'un roman d'Emmanuel Bove et je pense pouvoir dire que ce sera la dernière. Si le roman policier "Le meurtre de Suzy Pommier" ne m'avait déjà que peu convaincue, les choses aggravent, si je puis dire avec ce roman sociétal "Adieu Fombonne" qui dresse un tableau médiocre de la petite bourgeoisie de Paris et de province.
J'ai été gênée dans ma lecture par le trop grand nombre de personnages pour un roman aussi court (148 pages), j'éprouvais soit une sensation de remplissage stérile, soit une lassitude à essayer de m'y intéresser. Bref, vous l'aurez compris, inutile de s'étendre davantage, cette lecture ne laissera que peu de traces - voire aucune - dans ma mémoire.