Mouais

Ce livre ne s'attarde, arrivé à la dernière page, que sur une longue description de la modification de la pensée d'un penseur du plus à l'entourage au plus à l'épuration.

Plus proche de la substance divine omnisciente et omnipotente.

Mais ca le N ne l'avait pas compris.

Il n'a jamais eu le courage de se l'avouer c'est pour ca qu'il est tant revenu de fois sur les mêmes sujets pour se prétendre experts de ceux-ci, sans tilter qu'il devenait un philologue de l'Etat comme un autre, ce qu'il avait toujours détesté.

Car il a toujours su que justement il avait une grande force en lui mais ne pourrait jamais être utilisé pour inverser la balance qu'il détestait tant, alors il l'a juste déstabilisé, fracturé, ainsi que tous ceux qui se tenaient à coté.

Nietzche c'est une grande puissance pour beaucoup de bruit dans l'esprit de tout le monde, seul celui qui écoutait seulement la voix de toute chose a une chance de passer au travers et de ne garder que l'utile et rejeter l'agréable..... ou le désagréable, qui n'est au final qu'une sensation masochiste donc pas si éloignée.

Il s'est toujours bien placé en antagonisme d'un dogme déjà placé, et ce fut la là plus grande de ses erreurs.

Lui manquant la légèreté, les virevoltis des gens qui se prennent pour Dieu.

Nietzche a fondé les derniers rituels par la volonté de puissance, car s'en fut beaucoup mais relié à rien, et il le disait lui-même.

Disant que les mondes invisibles n'existaient pas définition pas, pourtant l'avenir et les sentiments des hommes en font partie, et ca il en a toujours été plein.

Nietzche c'est quelqu'un qui a subi la dégénérescence de son époque en comprenant tout de suite qu'il ne pourrait rien changer, alors il décida d'écrire des livres mais il savait bien qu'il était né au mauvais moment et qu'il faudrait justement quelqu'un qui connectasses encore plus de gens en eux par des vices et péchés encore plus évidents de liaisons dans la société.

Il espéra qu'un jour un homme repris sa flamme et relie entre eux les hommes juifs, musulmans, hellénistes de toutes les directions et hindouistes contre l'ennemi commun qu'est l'homme sans repères, attaché à soi-même, replié sur lui-même comme manière d'exister dans le monde.