Nietzsche ou le beauf à petite bite qui devint poète, à cause de son piteux état de santé qui l'empêchait de faire de l'import/export et de baiser des chattes comme tous les balourds embourgeoisés dans son genre. Comme certains de ses ouvrages antérieurs en attestent, ce type n'est jamais qu'une folle trop bien nourrie, mais affaiblie par son manque d'activité réelle. Ses attaques sont celles d'un ado qui n'est pas redescendu de sa lune. Il n'a fait que pondre des essais grandiloquents à la mesure de ses prétentions. Mais tout ça n'est que du papier et il n'y a que dans les livres que Nietzsche a pu exister, être fort. Il attaque la notion même de morale en passant son temps à prêcher pour le Surhomme qu'il ne sera jamais.
Si un cancéreux en phase terminale se prend pour un cador, par charité ou par politesse, on laisse couler ; mais celui-là, on l'acclame. Normal, les infirmes s'y retrouvent, cela fait écho à leur inflation de l'ego qui ne pouvant tenir sur rien, se tourne vers les chimères, les rodomontades abstraites. Laissons ce cancéreux mourir doucement, sans haine ni violence ; laissons-le emporter avec lui toutes ses reliques pourries. Laissons partir ses sbires avec, comme lui, ils ne sont pas taillés pour la vie et ils seraient les bouffons de l'histoire dans un monde illuminé par l'avènement des Surhommes.