J'ai tenu le coup 200 pages. Le pire, c'est que j'ai adoré le style rythmé, fluide d'Evan Wright. C 'est le récit qui m'a .....gonflée. les vantardises, coups tordus, saloperies en tout genre du "héros" m'ont lassée. Par contre, je ne peut que reconnaître son intelligence, et sa faculté à rebondir, ........quitte à écraser tout le monde. L'auteur fait preuve de neutralité, et nous livre sa prose qu'après avoir vérifié les dires du père Riccobono. Gage de qualité qui fait parfois passer le monsieur pour un mythomane....
bon, j'ai pas aimé. C'est pas pour ça que je pense le bouquin mauvais. Cas de schizophrénie littéraire.