Du gore pour du gore, admettons. C'était ce que j'aimais chez Thilliez.
Sans entrer en matière concernant les exposés grandiloquents, dignes d'une première année en bio, en psycho, en médecine ou en droit, notons aussi que ce roman ne mérite aucune place dans les lettres.
Des métaphores dignes du plus mauvais des Arlerquin à l'intrigue complexe à l'absurde qui ne ferait pas rougir le plus mauvais des Grangé, la lecture se fait poussive, poussive.
Et finalement, le plus écoeurant, c'est cette France décrite, pas black, très blanche, pas beur. Très conventionnelle avec tout ça. Et heureusement que les méchants, ce sont encore ces méchants argentins et ces méchants albanais.