Au bal des absents débute comme un classique des romans horrifiques. Un manoir ancien, des craquements, un reflet qui vous sourit et une jambe solitaire qui vous poursuit. La terreur, la vrai, dans une ambiance qui n’est pas sans évoquer Ça de Stephen King et tous les autres grands classique du genre. Une forme d’hommage de la part de Catherine Dufour qui multiplie les références aux romans et films horrifiques lorsque son héroïne, Claude, tente de trouver des réponses et des techniques dans ces oeuvres pour se débarrasser de l’entité qui hante le manoir. Plus qu’un hommage, c’est aussi un joli détournement que nous propose l’autrice, car au coeur de cette ambiance creepy à souhaits, on rit aussi beaucoup. Parce que [...]
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