8
Cocktail Malakoff
Benjamin Malaussène est un personnage récurrent des romans de Pennac. Il endosse un rôle patriarcal dans son étrange famille, veillant sur ses frères et sœurs cadets. Leur mère a l'habitude de...
Par
le 18 déc. 2011
11 j'aime
3
Mais que c'est bien...
J'avais conspué Pennac pour Chagrin d'école, me revoici pour dire à quel point j'ai aimé au bonheur des Ogres. C'est un livre drôle, doux mais aussi tellement dur et cruel. A une histoire de famille aussi difficile que tissée d'amour se mêle une enquête policière remontant jusqu'aux tréfonds des enfers. Et en plus, c'est bien écrit. Que demander de plus?
8
Écrit par
Créée
le 15 nov. 2014
Critique lue 214 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Au bonheur des ogres
9
Avant, je ne savais pas ce que lire voulait dire.
Et là, c'est le drame. J'ai 11 ans, et j'ai lu 15 fois toutes les bd dispo à la maison. Les quelques livres abordables pour mon âge aussi. De toutes façons je commençais à m'y ennuyer... D'où le...
Par
le 30 déc. 2014
7 j'aime
9
Critique de Au bonheur des ogres par dindon
Au bonheur des ogres est le premier tome de l'extraordinaire saga Malaussène. Pennac est un de ces merveilleux écrivains à pouvoir écrire un livre dans lequel les enfants comme les adultes peuvent...
Par
le 20 nov. 2010
7 j'aime
Du même critique
5
Du renouveau...un brin rétrograde...
La tradition familiale, c'est un film d'animation le dimanche matin afin de faire découvrir les classiques à ma fille de 4 ans. Ce matin, c'était donc le tour de Kuzco, l'Empereur super mégalo de...
le 3 janv. 2015
4 j'aime
6
Manipulation...
Ecstasy est un roman assez éprouvant. On y raconte l'histoire de Miyashita, jeune homme bien comme il faut - quoiqu'un peu paumé et insatisfait. Il croise la route d'un marginal qui va lui mettre le...
le 15 mars 2015
2 j'aime
6
Leçon de cinéma ou dictat du bon goût cinématographique?
Visuellement et techniquement impressionnant, Birdman est un film qui m'a, à titre personnel, profondément déplu. L'histoire de cette ancienne gloire de cinéma popcorn cherchant une légitimité à...
le 7 mars 2015
2 j'aime
