(...) Alors post-apo, oui bien sûr, mais un post-apo qui nous plonge dans l’intimité d’un personnage complexe et sensible, un post-apo beau et cruel à la fois. Un post-apo qui ne fait pas dans le sensationnel (bien qu’il réserve son lot de surprises), qui joue plus sur les personnages que la situation. Mais surtout un post-apo qui marque d’une manière différente que le tout-venant du genre. C’est sans doute là sa principale réussite.
À noter qu’il semble que certaines éditions (y compris en poche chez 10/18 comme ici) aient bénéficié d’une intéressante postface d’Haruki Murakami. Ce n’est malheureusement pas le cas de la mienne… C’est aussi ça les achats en aveugle en occasion !