Tendre maladresse
Ce roman, d'une tendre simplicité, a la maladresse d'une première fois – ce qu'il n'est pourtant pas. L'auteur s'attarde sur la relation entre un fils et son père, magnétiseur étrange qui fera...
Par
le 26 août 2020
Avril aime Elias, mais il est parfois étrange, secret. Cette étrangeté lui plaît, et lui pèse parfois. C'est qu'Elias a eu une enfance particulière : magnétiseur et coupeur de feu, son père lui impose des exercices bizarres et tient des propos incohérents. L'amour d'Avril arrivera-t-i à sortir Elias de ses ténèbres ?
Ce n'est pas un roman exceptionnel, mais il ne lui manque pas grand chose pour être très bon. Un peu plus d'intensité, peut-être, une intrigue un peu plus approfondie ? J'ai aimé la construction en trois parties : dans la première, c'est Elias qui raconte. Puis on découvre le journal intime d'Avril, qui livre un portrait en creux d'Elias. Enfin, c'est le père d'Elias qui s'adresse à Avril, apportant une nouvelle lecture des événements.
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Créée
le 3 août 2020
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