Critique de "La genèse de la flotte-1 : Avant-garde"

The Genesis fleet-1 : Vanguard

Lu en anglais

Les points de saut, qui permettent des vitesses plus rapides que la vitesse de la lumière, ont fortement accéléré l'essaimage des colonies humaines. Mais ils ont entrainé le retrait des activités de protection de la Terre et des premières colonies, car l'espace colonisé est rendu trop grand. Et certaines colonies en profitent pour se créer un petit royaume ou rançonner ses voisins. C'est la situation dans laquelle vont se trouver différentes personnes qui se cherchent de nouveaux défis ou qui veulent se prouver quelque chose. Une de ces personnes est notre bon ami Robert Geary, un officier junior de la flotte de son ancienne colonie. Et c'est parti.

Gleenlyon, une lointaine colonie menacée par un vaisseau de guerre, alors qu'elle n'a aucune défense, ni dans l'espace, ni sur la planète. C'est l'occasion pour certaines personnes de faire leurs preuves. Le roman met l'accent sur Robert Geary, le seul pilote un peu expérimenté dans une flotte spatiale, Mele Darcy, une marine efficace et mal embouchée et Ninja une pirate informatique qui en connait un peu trop pour ne pas entrainer la méfiance.

L'histoire manque un peu de rythme et se passe sur deux plans, la menace spatiale dans l'espace, et l'infiltration sur la planète, ce qui brise l'action et le rythme.

J'ai aimé, mais on baisse de niveau par rapport à ses séries précédentes. J'embarque sur le tome suivant, je vais voir si cela s'améliore.