Chaque tome de la trilogie des Soeurs Carmines suit l’une des trois soeurs, le premier suivait Merryvère, la voleuse maladroite, le dernier suivra la petite Dolorine (mon chouchou) et Belle de gris s’intéresse donc à Tristabelle, la soeur aussi garce que belle, la plus cinglante et la plus pimpante. S’agissant de celle qui m’avait le moins accroché dans le tome 1, je craignais un peu de devoir la supporter tout le long d’un volume. Et pourtant, quand Tristabelle décide de vous persuader que vous allez l’aimer, vous finissez inévitablement par tomber sous le charme. Bon d’accord, sa façon de charmer est particulière… Elle décide en effet de prendre le contrôle de la narration, car qui mieux qu’elle pour parler d’elle, et s’adresse ainsi régulièrement au lecteur directement en l’insultant souvent copieusement. Et je ne sais pas si j’ai des tendances masochistes, mais [...]
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