Atteint de la maladie des os de verre, Philippe Rahmy a grandi dans un carcan, cloué au lit par des fractures dans toutes les parties de son corps, enferré dans la douleur. Il s’en est sorti par les mots et la littérature, qui lui tiennent lieu de charpente corporelle.
Invité en résidence d’écriture à Shanghai à l’automne 2011, il part pour la première fois en voyage à l’autre bout du monde : rupture, aventure et exploration nouvelle pour cet écrivain casanier malgré lui.
La suite sur mon blog ici :
https://charybde2.wordpress.com/2015/10/16/note-de-lecture-beton-arme-philippe-rahmy/