«Cette brume insensée où s’agitent des ombres, comment pourrais-je l’éclaircir ?». Cette citation de Raymond Queneau, en exergue à «W ou le souvenir d’enfance» de Georges Perec aurait pu également ouvrir ce récit de Marianne Rubinstein, publié en 2009 aux éditions Verticales et dédié aux absents.
Après la lecture des «Disparus» de Daniel Mendelsohn, qui forme un trait d’union entre «Tout le monde n’a pas la chance d’être orphelin» et ce livre-ci, Marianne Rubinstein a enquêté frénétiquement, avant que tout ne s’efface, et rassemblé les traces éparses et souvenirs fugitifs pour faire surgir des lueurs sur l’histoire de ses grands-parents paternels et des membres de leur famille déportés et assassinés par les nazis.
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