J’avais plutôt passé un bon moment avec le premier tome. C’est sans appréhension que j’ai ouvert ce deuxième tome.
Mais je dois bien dire que j’ai rapidement été déçue du comportement de Mia. Dès qu’elle voit Alec, elle veut coucher avec lui alors que dans le précédent tome, elle disait que ce serai compliqué de remplacer Wes.
Je n’ai pas du tout mais alors pas du tout apprécié le personnage d’Alec. C’est une caricature d’un français. Si l’auteur voit les français comme Alec, il faudrait sérieusement qu’elle vienne en France.
Je n’ai pas du tout compris Mia dans ce roman, elle oublie totalement Wes, pense qu’Alec est un dieu au lit et dit qu’elle n’est pas au courant qu’elle touchera plus d’argent si elle se déshabille pour les hommes et fait une scène. Le personnage de Mia m’a excédée.
Il n’y a pas d’histoire, l’art est un prétexte alors que j’aurai aimé plus voir le travail de l’artiste que leurs coucheries. Je n’ai pas pu non plus découvrir Seattle puisque l’on n’a pas quitté l’appartement d’Alec.
En bref, je suis plus que septique vis-à-vis de ce deuxième tome. J’espérais retrouver le plaisir que j’avais eu lors de la lecture du premier tome. Je lirai le tome de Mars et si jamais ça continue comme ça, je lirai juste le tome de Décembre pour savoir comment se finit cette histoire.