Cent millions d’années et un jour fait partie de ces livres qu’on reconnaît dès les premiers mots. Un roman qui va vous enchanter, vous transporter, vous émouvoir. Il y a de la magie dans ce texte.
Stan, paléontologue, part en quête d’un rêve. Il a appris que dans les montagnes, entre France et Italie, se cachait un squelette de dinosaure. Un squelette qui pourrait lui apporter la gloire. Il embarque dans cette aventure son ancien assistant et ami Umberto et le jeune Peter.
Mais là-haut, les perspectives changent. Engagés dans cette quête éperdue, les trois hommes et leur guide vont vivre un huis-clos sous tension.
Jean-Baptiste Andrea glisse du suspens au cœur de la relation des hommes qui mènent cette recherche d’un monstre mythique, née d’un rêve d’enfant brimé par un père violent.
C’est un roman brillant et lumineux au cœur duquel la nature joue un rôle primordial que l’auteur sait transcrire à merveille.
J’ai été captivée de bout en bout par ce récit qui remonte le fil de l’enfance et met en scène la relation d’amitié et la rivalité entre les trois personnages masculins.