8
Noir c'est noir.
La dualité King / Bachman, largement commentée depuis son dévoilement, notamment par l'écrivain lui-même, a beau être rentrée dans les mœurs des lecteurs, elle n'en est pas moins fascinante. Là où...
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le 6 juin 2017
2 j'aime
pas le meilleur
J'avais commencé le livre il y a très longtemps et je n'avais pas réussi à le finir. Je l'ai repris et me suis accrochée quand j'ai commencé à trouver l'histoire un peu lassante.
Bart, le personnage principal, me donne l'impression d'être un loser, égoïste et j'ai presque regretté que l'intrigue tourne autour de son histoire. Il perd son travail, sa femme, ses amis, sa maison et pour finir sa vie, mais on imaginait mal comment il aurait pu continuer à vivre. J'ai aimé le style de Stephen King, j'en suis fan et ne m'en lasse pas. L'histoire est tellement réelle que ce roman n'a rien de fantastique. C'est peut-être ce qui m'a moins plu. De voir cet homme laisser sa vie lui filer entre les doigts et se laisser couler, sans aucune considération pour ses proches, donne envie de le voir disparaître, juste pour qu'il n'ait pas à affronter la fin du chantier.
Bart, le personnage principal, me donne l'impression d'être un loser, égoïste et j'ai presque regretté que l'intrigue tourne autour de son histoire. Il perd son travail, sa femme, ses amis, sa maison et pour finir sa vie, mais on imaginait mal comment il aurait pu continuer à vivre. J'ai aimé le style de Stephen King, j'en suis fan et ne m'en lasse pas. L'histoire est tellement réelle que ce roman n'a rien de fantastique. C'est peut-être ce qui m'a moins plu. De voir cet homme laisser sa vie lui filer entre les doigts et se laisser couler, sans aucune considération pour ses proches, donne envie de le voir disparaître, juste pour qu'il n'ait pas à affronter la fin du chantier.
6
Écrit par
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le 6 oct. 2014
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8
Critique de Chantier par bobozelda
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