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Leina Manneskju

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Chroniques italiennes

1855 • livre de Stendhal

Résumé : «- Eh bien ! puisque votre lâcheté le veut, moi-même je tuerai mon père... Animés par ce peu de paroles fulminantes, et craignant quelque diminution dans le prix convenu, les assassins rentrèrent résolument dans la chambre, et furent suivis par les femmes. L'un d'eux avait un grand clou qu'il posa verticalement sur l'œil du vieillard endormi ; l'autre, qui avait un marteau, lui fit entrer ce clou dans la tête. On fit entrer de même un autre grand clou dans la gorge, de façon que cette pauvre âme, chargée de tant de péchés récents, fût enlevée par les diables ; le corps se débattit, mais en vain.»

Kelvin-Vullioud

a attribué 8/10 au livre

Chroniques italiennes

1855 • livre de Stendhal

Résumé : «- Eh bien ! puisque votre lâcheté le veut, moi-même je tuerai mon père... Animés par ce peu de paroles fulminantes, et craignant quelque diminution dans le prix convenu, les assassins rentrèrent résolument dans la chambre, et furent suivis par les femmes. L'un d'eux avait un grand clou qu'il posa verticalement sur l'œil du vieillard endormi ; l'autre, qui avait un marteau, lui fit entrer ce clou dans la tête. On fit entrer de même un autre grand clou dans la gorge, de façon que cette pauvre âme, chargée de tant de péchés récents, fût enlevée par les diables ; le corps se débattit, mais en vain.»

Lara_Smash

a attribué 7/10 au livre

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Chroniques italiennes

1855 • livre de Stendhal

Résumé : «- Eh bien ! puisque votre lâcheté le veut, moi-même je tuerai mon père... Animés par ce peu de paroles fulminantes, et craignant quelque diminution dans le prix convenu, les assassins rentrèrent résolument dans la chambre, et furent suivis par les femmes. L'un d'eux avait un grand clou qu'il posa verticalement sur l'œil du vieillard endormi ; l'autre, qui avait un marteau, lui fit entrer ce clou dans la tête. On fit entrer de même un autre grand clou dans la gorge, de façon que cette pauvre âme, chargée de tant de péchés récents, fût enlevée par les diables ; le corps se débattit, mais en vain.»

Ettringite

a attribué 8/10 au livre

Chroniques italiennes

1855 • livre de Stendhal

Résumé : «- Eh bien ! puisque votre lâcheté le veut, moi-même je tuerai mon père... Animés par ce peu de paroles fulminantes, et craignant quelque diminution dans le prix convenu, les assassins rentrèrent résolument dans la chambre, et furent suivis par les femmes. L'un d'eux avait un grand clou qu'il posa verticalement sur l'œil du vieillard endormi ; l'autre, qui avait un marteau, lui fit entrer ce clou dans la tête. On fit entrer de même un autre grand clou dans la gorge, de façon que cette pauvre âme, chargée de tant de péchés récents, fût enlevée par les diables ; le corps se débattit, mais en vain.»

Thrasymaque

a attribué 8/10 au livre

Chroniques italiennes

1855 • livre de Stendhal

Résumé : «- Eh bien ! puisque votre lâcheté le veut, moi-même je tuerai mon père... Animés par ce peu de paroles fulminantes, et craignant quelque diminution dans le prix convenu, les assassins rentrèrent résolument dans la chambre, et furent suivis par les femmes. L'un d'eux avait un grand clou qu'il posa verticalement sur l'œil du vieillard endormi ; l'autre, qui avait un marteau, lui fit entrer ce clou dans la tête. On fit entrer de même un autre grand clou dans la gorge, de façon que cette pauvre âme, chargée de tant de péchés récents, fût enlevée par les diables ; le corps se débattit, mais en vain.»

Père Igor

a attribué 7/10 au livre

Chroniques italiennes

1855 • livre de Stendhal

Résumé : «- Eh bien ! puisque votre lâcheté le veut, moi-même je tuerai mon père... Animés par ce peu de paroles fulminantes, et craignant quelque diminution dans le prix convenu, les assassins rentrèrent résolument dans la chambre, et furent suivis par les femmes. L'un d'eux avait un grand clou qu'il posa verticalement sur l'œil du vieillard endormi ; l'autre, qui avait un marteau, lui fit entrer ce clou dans la tête. On fit entrer de même un autre grand clou dans la gorge, de façon que cette pauvre âme, chargée de tant de péchés récents, fût enlevée par les diables ; le corps se débattit, mais en vain.»

DYNASTIA

a attribué 9/10 au livre

Chroniques italiennes

1855 • livre de Stendhal

Résumé : «- Eh bien ! puisque votre lâcheté le veut, moi-même je tuerai mon père... Animés par ce peu de paroles fulminantes, et craignant quelque diminution dans le prix convenu, les assassins rentrèrent résolument dans la chambre, et furent suivis par les femmes. L'un d'eux avait un grand clou qu'il posa verticalement sur l'œil du vieillard endormi ; l'autre, qui avait un marteau, lui fit entrer ce clou dans la tête. On fit entrer de même un autre grand clou dans la gorge, de façon que cette pauvre âme, chargée de tant de péchés récents, fût enlevée par les diables ; le corps se débattit, mais en vain.»

DYNASTIA

a attribué 10/10 au livre

Chroniques italiennes

1855 • livre de Stendhal

Résumé : «- Eh bien ! puisque votre lâcheté le veut, moi-même je tuerai mon père... Animés par ce peu de paroles fulminantes, et craignant quelque diminution dans le prix convenu, les assassins rentrèrent résolument dans la chambre, et furent suivis par les femmes. L'un d'eux avait un grand clou qu'il posa verticalement sur l'œil du vieillard endormi ; l'autre, qui avait un marteau, lui fit entrer ce clou dans la tête. On fit entrer de même un autre grand clou dans la gorge, de façon que cette pauvre âme, chargée de tant de péchés récents, fût enlevée par les diables ; le corps se débattit, mais en vain.»

Essence-Fondamentale
Chroniques italiennes

1855 • livre de Stendhal

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Antiochien

a attribué 8/10 au livre

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1855 • livre de Stendhal

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Autharite

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Khâgne 2020-2021

Chroniques italiennes

1855 • livre de Stendhal

Résumé : «- Eh bien ! puisque votre lâcheté le veut, moi-même je tuerai mon père... Animés par ce peu de paroles fulminantes, et craignant quelque diminution dans le prix convenu, les assassins rentrèrent résolument dans la chambre, et furent suivis par les femmes. L'un d'eux avait un grand clou qu'il posa verticalement sur l'œil du vieillard endormi ; l'autre, qui avait un marteau, lui fit entrer ce clou dans la tête. On fit entrer de même un autre grand clou dans la gorge, de façon que cette pauvre âme, chargée de tant de péchés récents, fût enlevée par les diables ; le corps se débattit, mais en vain.»

diegzon_berarddi

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Chroniques italiennes

1855 • livre de Stendhal

Résumé : «- Eh bien ! puisque votre lâcheté le veut, moi-même je tuerai mon père... Animés par ce peu de paroles fulminantes, et craignant quelque diminution dans le prix convenu, les assassins rentrèrent résolument dans la chambre, et furent suivis par les femmes. L'un d'eux avait un grand clou qu'il posa verticalement sur l'œil du vieillard endormi ; l'autre, qui avait un marteau, lui fit entrer ce clou dans la tête. On fit entrer de même un autre grand clou dans la gorge, de façon que cette pauvre âme, chargée de tant de péchés récents, fût enlevée par les diables ; le corps se débattit, mais en vain.»