De la bonne merde industrielle
Il n'y a rien de bien intéressant à dire sur ce "truc" et j'aurais honte d'appeler ça de la littérature. Fifty Shades of grey, est le fruit d'une société en décadence, en manque de repères et qui veut à tout prix se cultiver par ce genre de mélasse. Ni érotisme, ni romance mais néant intersidéral, "l'écrivaine" E.L James nous offre par cet écrit une photographie de notre monde. Monde dans lequel tout doit aller vite, être consommé rapidement ; C'est un peu l'image du mec qui rentre dans une librairie et demande à ce qu'on lui propose "un livre facile à lire". Mais non Monsieur, on ne consomme pas les livres comme si on allait acheter un vulgaire iPhone ; lire demande une réflexion complexe et réfléchir ce n'est pas facile.