Critique de Troy rising, Teme 2 : Citadel"

Lu en anglais. Tome 2 de la série.

Victoire sur les Horvath ! Mais ce n'est pas fini, ils vont sûrement vouloir se venger. Et la situation se détériore dans le coin. Les Rangora expansionnistes, des lézards de 3 mètres, se préparent à écraser les Glatun alliés de la terre. Et les Rangora sont la grande puissance militaire du secteur. Sans compter qu'il y a de fortes chances qu'ils supportent les Horvath dans leur contre-attaque contre la terre. Et la terre ne vient que d'accéder à l'espace et à une partie de la technologie des Glatun. Il faut préparer les défenses, car les extraterrestres en guerre ne voient aucun inconvénient à bombarder les populations civiles avec des missiles qui ont des énergies d'impact cinétique équivalent à des bombes atomiques de plusieurs mégatonnes.

Le dos au mur et l'horloge tourne ! L'humanité doit se dépêcher d'équiper sa gigantesque forteresse spatiale, un astéroïde de 9 km évidé avec des parois de 1,5 km de fer-nickel d'épaisseur qui devrait couvrir la sortie de la porte spatiale. En même temps, elle doit étoffer et améliorer la performance de ses miroirs solaires, qui servent à aider pour le minage des astéroïdes, pour les transformer en arme d'attaque. Et on continue des suivre la pilote Dana et le soudeur Butch.

Un peu de déception au début car la première attaque passe sous le radar et on décrit plutôt l'après bataille avec Dana qui récupère les survivants avec sa navette et Butch qui fait des réparations. Puis, enfin, on passe à du sérieux. Le combat contre des vaisseaux spatiaux énormes, blindés et possédant des armes effroyables. Du bonbon !

Par contre, les aventures centrées sur les personnages Dana et Butch ne venaient pas vraiment me chercher face au destin de l'humanité entière qui était en jeu. Cela me faisait penser à du remplissage; j'aurais préféré un roman plus serré.

Un roman qui mélange mes trois sous-genres préférés ;le space opera, la science-fiction militaire et la hard science.

J'ai beaucoup aimé, mais avec 200 pages de moins de remplissage, ça aurait été encore mieux.

Et hop ! On enchaine sur le dernier de la série.