Marie Darrieussecq paraissait pourtant promettre une adaptation moderne de "La princesse de Clèves", après lecture et réflexion, je penche plutôt pour une version trash et un peu glauque des "Monologues du Vagin" version ado en chaleur et seventies. On peut comprendre les interrogations et même obsessions naturelles du personnage principal, mais au bout de 15 "bite" et 19 "mouillée" par page, le lecteur devient, non seulement lassé, mais légèrement écoeuré.
Bref, malheureusement, un livre plutôt décevant et légèrement fade, malgré la volonté apparente de Darrieussecq d'en faire une oeuvre..humide (uhuh)