Un style fort, un questionnement profondément humain et terrifiant. Le chaos et l'impossibilité de retrouver un sens au monde, tout cela, c'est touchant. Il y a même quelques portraits cinglants parfaitement sublimes.
Comme beaucoup de choses de cette époque : trop emprunt de cet insupportable regard masculiniste pour ne pas sortir sans cesse de l'univers crée. Seuls les hommes font out réfléchissent (pendre des choses, se faire pendre, chercher des indices). Les femmes ? La jeune Léna est désirée par tous, la vieille est vieille donc on n'en parle pas, la défigurée est vue comme un objet sexuel exotique ou fétichisé. C'est lourd, ringard et pas mon truc.