Ce livre relate l’ascension athlétique du jeune Emile, officier tchèque autodidacte. Le personnage, bien qu’empreint d’humilité, ne transcende pas la lecture par ses émotions. Je reste un peu sur ma fin après cette première lecture d’Echenoz, j’espère que « Ravel » ne me laissera pas sur cette note.
Créée
le 9 févr. 2023
Critique lue 14 fois
D'autres avis sur Courir
Tchécoslovaquie, à la fin des années 30. La Seconde Guerre mondiale n’est pas encore tout à fait déclenchée. Les nazis ont bien envahi les Sudètes, mais c’était presque naturel tant cette région est...
Par
le 28 mars 2014
6 j'aime
1
Émile n'aime pas le sport. Émile travaille dans une usine de chaussures Bata en Tchécoslovaquie (c'est ça le destin ?). Émile sera pourtant le coureur le plus rapide du monde. Émile n'aime pas trop...
Par
le 22 mars 2014
6 j'aime
Lorsque les Allemands envahissent la Moravie, Emile a dix-sept ans et, tout en poursuivant ses études de chimie, travaille comme ouvrier dans les poussières et la puanteur de l’usine Bata à Zlin. Lui...
Par
le 16 juin 2023
4 j'aime
4
Du même critique
Ce livre relate l’ascension athlétique du jeune Emile, officier tchèque autodidacte. Le personnage, bien qu’empreint d’humilité, ne transcende pas la lecture par ses émotions. Je reste un peu sur ma...
le 9 févr. 2023
Ce film est une belle preuve d’amour, il fait remonter des enjeux éthiques concernant l’euthanasie, très taboue au sein de notre société. La fin de vie dans la dignité paraît pourtant être la...
le 4 févr. 2023
« J’ai pris conscience que nous sommes davantage habitués aux images d’hommes se battant qu’à celles d’hommes se souvenant. Je voulais faire un film sur la tendresse avec des images de jeunes...
le 11 févr. 2023
